• La sirène (petite)

    Dans son antre, elle se repose,

    Paisible et confortable.

    Puis, après un sommeil, s'étire,

    S'enquiert de l'alentour

    En délicats tâtonnement.

    Pourtant ces eaux ne cachent

    Aucune perle précieuse.

    Alors, pour toi,  je bâtirai 

    Ma maison dans ton cœur.

    En brindilles entortillées,

    Nouées pour toujours.

     

    Poème posté le 13/01/19 par Louis


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